Nous sommes allés en scooter voir le temple Gunung Kawi du Xème siècle creusé dans la roche et au milieu des rizières. L’arbre ci-dessous est un ficus.

 

 

Bess’on the road - Indonésie

Sur le retour du temple, nous croisons des Français qui nous montrent sur leur carte qu’il y a à 1 km une source notée 3 étoiles par le routard.

 

Nous attendons donc que la pluie se calme un peu et allons voir cette source.

Voici la fameuse source notée 3 étoiles, le bassin de gauche est rempli de poissons éparpillés dans l’eau. Nous voyons quand même un attroupement de dizaines de poissons les uns contre les autres.

 

Nous enchaînons avec un petit village où nous voyons un combat de coqs. Les coqs armés d’une lame fixée sur la patte s’entretuent en quelques secondes. Le combat dure moins longtemps que les paris. Remarquez qu’il n’y a aucune femme qui assiste au combat ! Tous les hommes portent le sarang traditionnel.

 

Nous partons vers 6 heures du matin pour la « Monkey Forest » afin d’éviter le monde. On se retrouve d’ailleurs tout seuls … enfin presque : les singes et les gardiens nous tiennent compagnie.

On se croirait dans la jungle profonde et avec les statues hindoues le long des chemins, on a l’impression d’être plongé dans l’univers d’Indiana Jones !

Nous voyons des singes à queues longues comme ci dessus (Macaques crabiers), ils sont plus de 200.

Les adultes se cherchent les poux pour les manger. Nous avons aussi vu des singes grimper sur des touristes et essayer de mettre les mains dans leur vêtements.

 

Les singes passent leur temps à manger et à faire l’amour. Mais il sont très rigolos à regarder car les bébés se tiennent aux ventres de leurs mères quand elle se déplacent. mais ça doit tirer un peu les poils...

SANUR :

 

 

Le mot des parents :

Nous décidons de louer des scooters, c’est vraiment le moyen de locomotion idéal pour visiter les alentours d’Ubud (de plus il est très économique : compter 4 euros de loc à la journée par scooter + le litre d’essence à 40 cts). Par contre, sans carte, il est plutôt difficile de se repérer dans le dédale des rizières. Heureusement les balinais sont très serviables et même sous un déluge, ils prennent le temps de vous renseigner. Depuis trois jours, nous découvrons ce que « mousson » veut dire. Nos habits trempés lors de notre sortie en scooter ne sèchent pas, l’air est chargé d’humidité mais il fait doux.

Nous continuons d’aller dans des « warungs » typiques pour déguster un mi-goreng et boire une Bitang bien fraîche !!!

Ubud est victime de son succès : beaucoup de touristes, des embouteillages et apparemment, une augmentation des promotions immobilières qui rendent plus difficile l’accession à la propriété des locaux. Bientôt, ce sera une ville comme St Paul de Vence mais avec plus de taxis et de scooters et moins de parkings payants !

Aux alentours d’Ubud, il reste toutefois facile de se retrouver dans un cadre préservé avec des balinais souriants, leur serpe coincée dans la ceinture, une gerbe d’herbe sous le bras.

Il est aussi drôle de croiser des troupeaux de canards, des poules et leurs petits, en ballade, sortant d’on ne sait où !!! Surprise !!!

Nous sommes surpris par la pluie alors qu’il nous reste une heure de route à scooter. On rentre complètement trempés !

 

Les chaussures n’ont toujours pas fini de sécher au bout de 2 jours, donc nous voulons acheter de nouvelles chaussures.

 

UBUD et sa « Monkey Forest », un grand moment du séjour à Ubud :

Nous quittons monsieur Raka et sa Raka House pour nous rendre à Sanur où nous trouvons un petit hôtel avec wi-fi.

Le soir nous allons manger dans un restaurant sous la pleine lune et où se joue un concert de Reggae.

 

 

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