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CARTE DE L’ITINERAIRE PARCOURU : |
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Le mot des parents : Et voilà la fin de notre périple en Nouvelle-Zélande, limité à l’île du Sud. L’aller-retour sur l’ile du Nord aurait fait exploser le budget (env 1000 euros le bateau A/R). Aucun regret car l’ile du Sud vaut le voyage à elle seule et semble être, à l’unanimité des gens rencontrés qui ont fait les deux, la plus belle et sauvage. Un mois aura été tout juste suffisant pour parcourir l’ile et nous aurons fait finalement 4500 kms au lieu des 2500 prévus ! C’est finalement pas loin du minimum à faire pour voir tous les coins intéressants, quelques centaines de kms ayant été ajoutés par rapport à l’itinéraire optimisé pour aller chercher le soleil là où il se trouve à l’instant t. La météo variant tellement d’une vallée à l’autre et les prévision étant assez fiables, il ne faut pas hésiter à modifier son itinéraire pour être au soleil.
Pour faire notre petit bilan, on aura beaucoup aimé : Þ les paysages magnifiques qu’offre la nature qui est ici à l’état pur. C’est varié et beau à peu près partout. Si on devait malgré tout faire un classement des sites visités, on mettrait en 1) le Milford Sound et la route qui y mène (considérée d’après certaines lectures comme une des plus belles au monde). En 2) la péninsule d’Otago avec ses plages, ses prairies et ses animaux. En 3) Farewell split et la plage Wharariki (le très réputé Abel Tasman, un peu plus au sud, nous ayant un peu déçu). Þ l’aménagement des sentiers de randonnées, encore mieux qu’en Australie Þ Les toilettes, partout et toujours propres Þ Les aires de camping aménagées par le gouvernement, malheureusement pas assez nombreuses dans certaines zones. Þ L’absence totale d’insécurité Þ La gentillesse de la plupart des Néo-Zélandais qu’on a croisé (avec mention spéciale pour ce couple d’agriculteurs dans le Sud) Þ La rencontre des backpackers qui viennent travailler en NZ pour pouvoir visiter le pays
On aura moins aimé : Þ La plupart des point négatifs de l’Australie qu’on retrouve en Nouvelle-Zélande, mais en plus light (relation commerciale, manque de flexibilité, prix abusifs sur les activités touristiques) Þ L’absence d’affichage des prix, notamment dans les campings Þ Les panneaux « no camping » qui ont fleuri partout lors de la dernière coupe du monde de rugby en septembre 2011 Þ Comme en Australie et en plus prononcé, l’affichage d’un comportement écologique pas du tout à l’image de sa mise en pratique : hélicos et avions transportant des touristes pour voir les montagnes, les lacs, les iles, les fjord, les baleines, les phoques, ... générant pollution atmosphérique et pollution sonore (sympa les ballades en montagne avec le bruit permanent de ces bestioles au dessus de la tête, en particulier à Franz Joseph). Mais le ponpon est sans doute à Farewell Spit, où il est interdit d’aller à pied au-delà de 2 kms pour cause de protection de l’environnement, seuls des bus 4x4 dégageant une fumée noire repérable à plusieurs kms ont le droit d’emmener les touristes qui ont payé 50 euros leur billet !
On aura pas du tout aimé : Þ les Sandflies. Un vrai cauchemar !!! Þ Le PV à Greymouth pour parking dépassant l’horaire alloué (le petit chiffre en dessous du P sur fond bleu, c’est le nombre de minutes de parking auxquelles vous avez droit, en général entre 5 et 60. Le PV augmente en fonction du nombre de dépassements !! Mieux vaut connaitre ce fonctionnement) |
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Bess’on the road - Nouvelle Zélande |
